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7 septembre 2005
RFI - Amnesty international publie un rapport intitulé « le projet d’oléoduc Tchad-Cameroun, renonciation contractuelle aux droits humains ». Selon l’organisation de défense des droits de l’Homme, le consortium américano-malaisien qui exploite le gisement pétrolier du Tchad met en danger la vie des populations.
L’exploitation des gisements de pétrole du Tchad est confiée à un consortium dirigé par ExxonMobil, dans lequel se retrouvent la firme américaine (...)
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24 mai 2005
Par Sébastien Godinot , Les Amis de la Terre
Paris, le 24 mai 2005
Alors que la cérémonie d’ouverture du gigantesque oléoduc Baku-Tbilissi-Ceyhan (BTC) aura lieu demain à Baku (Azerbaïdjan), deux rapports d’ONG paraissent, mettant en évidence les risques environnementaux du projet, les tensions sociales, les violations des lois nationales et le laxisme des Institutions Financières Internationales, la Banque mondiale et la BERD. Les Amis de la Terre demandent l’arrêt des (...)
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18 mars 2005
Arguant de la flambée des prix du brut, le Sénat américain donne son feu vert au forage dans l’un des derniers espaces totalement sauvages de la planète.
Par Pascal RICHE
Washington de notre correspondant Liberation - 06:00 - George W. Bush n’est pas encore arrivé à ses fins, mais il s’en approche. Mercredi, le Sénat américain a donné un premier feu vert à son projet de forage pétrolier dans le grand parc naturel du nord de l’Alaska. Sous le premier mandat Bush, (...)
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21 février 2005
LE MONDE | 15h18 - Il aura fallu dix ans de démarches au maire de Port-Saint-Louis-du-Rhône pour obtenir la première installation de machines à produire cette énergie renouvelable dans la région. Quatre autres projets sont en préparation.
Marseille de notre correspondant régional
Le vent parcourt l’immense plaine de la Crau à une vitesse ravageuse : des rafales de plus de 120 km/h couchent les joncs et bousculent les voitures qui descendent d’Arles à Port-Saint-Louis-du-Rhône (...)
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13 décembre 2004
Le projet de construction et d’exploitation de l’oléoduc tchado camerounais, supervisé par le Groupe de la Banque Mondiale (GBM) [1], intervient au moment où les Institutions Financières Internationales (IFI)[2] voient leurs programmes pour le développement économique et social de plus en plus contestés. Malgré les deux années de consultations, de conférences, de débats et de discussions qui ont précédé la signature du contrat, les décisions prises par le GBM, font encore (...)